Parc d’aventures Bol d’Air

Ce weekend, c’était direction les Vosges pour profiter de l’été au parc d’aventures de La Bresse : Bol d’Air. Au programme, le parc d’aventure dans les arbres et la fameuse descente en tyrolienne de 1,3km de long : le fantasticable !

Après un bon 4h30 de route depuis le Brabant Wallon, en évitant les grands départs en vacances, on se retrouve au camping à proximité, le Camping du Haut des Bluches. Première impression : pas beaucoup d’ombre dans le camping … hum … on espère que ça ne sera pas un problème. On essaie quand même de monter la tente (ou plutôt, « déplier » la tente 3secondes) où il y a le plus d’ombre. Une fois correctement installés, on va directement à l’entrée du parc aventure pour réserver les heures de passage au fantasticable / parc aventure et … le saut à l’élastique. 62€ (pack défi aventure) pour se faire plaisir toute la journée, c’est raisonnable ou 45€ pour le pack fantasticable / parc aventure.

Le lendemain, pas de bol, pluie prévue … Pas grave, on décide de quand même tenter le parc aventure, ca glissera un peu dans les arbres, mais c’est pas un problème d’après le personnel sur place. Après un petit briefing et un parcours d’essai pour voir si tout va bien, on est parti : deux parcours verts très faciles, deux bleues tout aussi faciles mais un peu plus hautes, une rouge très longue et encore plus haute. Puis … la Noire et SUPER NOIRE ! Là, c’est autre chose, TOUT bouge, aucun support n’est attaché. Mal de bras assuré, surtout avec mes bras de crevette 😉 De quoi bien se fatiguer et commencer à ressentir quelques sensations avant le fantasticable.

Après le parc aventure, une pause s’impose au snack du parc. Les prix sont très corrects, alors on en a profité.

On s’équipe alors pour le fantasticable : combinaison spéciale, casque et poulie. Chacun prend son matos dans la camionnette qui nous amène à la « station » de départ en haut d’un chemin de terre. Une fois sur place, petit briefing sur la position des bras à adopter, ce qu’il faut faire et ne pas faire … rien de spécial en somme, et c’est parti ! Chacun son tour, on est attaché à sa poulie sur le câble, on doit donner son poids, on reçoit un frein aérodynamique (une petite voile à l’arrière de sa poulie) et on est lâché dans la nature. Par curiosité, j’ai enclenché la montre GPS Garmin Forerunner 405 avant de monter dans la camionnette. Résultat : max 83.3km/h et 150mètres de dénivelé. On est encore loin des 120km/h maxi, mais c’est sans doute à cause des conditions météo.

Pour ceux qui veulent aller plus vite : mentez sur votre poids et annoncez un peu moins ! 😉

Sinon, pour ceux qui veulent plus d’émotions (avec le fantasticable, pas d’émotions à proprement parler, juste une bonne sensation de liberté), je vous conseille de faire le saut à l’élastique. Pour ceux qui n’en ont jamais fait, celui proposé n’est pas très haut pour un premier saut mais donne de bonnes sensations !

Si vous avez déjà fait ce parc d’aventure, n’hésitez pas à laisser vos commentaires !

Les 2 Alpes …

Cette année, pour le ski, nous nous sommes orientés vers la station des 2 Alpes, ultra connue de tous, du moins de nom … Pour avoir une bonne semaine de glisse, quoi de mieux que d’aller dans une grande station réputée, et à proximité des autoroutes (c’est peut-être son seul point positif !).

L’hébergement

Pour le logement, on a trouvé un petit chalet fort sympathique dans le village situé juste à proximité : Venosc. La description était très alléchante : chalet 14 personnes entièrement rénové, jacuzzi, haman, sauna, … Le rêve pour une bonne soirée détente.

Sauf que, nous étions les premiers locataires … Le lave vaisselle ne fonctionnait pas, l’évier de la cuisine fuyait de partout (bonjour les appels de détresse au propriétaire qui débarque avec son tube de silicone pour reboucher les fuites à 22h), la salle de détente (avec le haman, jacuzzi, sauna, …) commençait à sentir le moisi et l’humidité car la pièce n’était pas bien aérée (bonjours les maladies !).

Finalement, on s’est retrouvé avec un chalet plein d’options que l’on n’a pas utilisé, heureusement pas très cher car nous étions dans le village en dessous des 2 Alpes.

L’accès à la Station

Dans la description du chalet, il était indiqué que la télécabine qui relie Venosc à la station des 2 Alpes était accessible en « 5min à pied ». Heureusement qu’il n’étais pas indiqué que pour les cinq minutes de marches matinales et pour le retour d’une bonne journée de glisse qu’il fallait se taper un dénivelé d’environ 200m (oui, c’est raide, et imaginez-vous la montée avec des chaussures de ski ou un snowboard dans les bras !) parce que la télécabine a été construite à coté de la nationale qui passe au pied du village, et non dans le village lui même.

Ensuite, il n’était pas indiqué que l’arrivée de la cabine au niveau des 2 Alpes se trouvait à une extrémité de la station, et qu’il fallait se taper encore 10minutes de marche jusqu’à l’Intersport le plus proche pour louer ses skis. Ensuite, de l’intersport, il fallait encore se taper quelques bonnes minutes de marche pour aller aux remontées mécaniques qui ne déversent pas simplement les 4pistes vertes du bas de station.

En gros, impossible de commencer une journée de ski tôt le matin, il fallait une bonne heure pour arriver jusqu’au télécabines qui emmènent réellement sur les pistes. De plus, à Venosc, la seule « épicerie » où l’on peut avoir du pain le matin est ouverte à partir de 8h … impossible de faire l’ouverture des pistes !

La station

Une fois *enfin* dans une télécabine pour aller au cœur des pistes de la station – quand il n’y a pas trop de vent, sinon toutes les vieilles télécabines sont fermées et tout le monde se retrouve dans le « jandri express », une espèce de bétaillère à skieurs, une grosse boite de conserve où l’on peut mettre 20 personnes debout pour une montée laborieuse vers le milieu de la station – quand on sort des télécabines pour reprendre une remontée mécanique pour aller en haut de pistes, il faut … marcher, encore marcher, toujours marcher.

A croire qu’ils ne pouvaient pas faire comme dans toutes les autres stations et faire les départs des télécabines à un niveau légèrement plus bas que les arrivées (comme ca, hop, on chausse, et on arrive plus bas pour remonter).

Au niveau des pistes, rien à redire, il y en a pour tous les niveaux. C’est l’avantage des grandes stations. Toutefois, sur les pistes bleues, il y a souvent des montées où il faut bien prendre son élan avant de se lancer… et quand il y a du monde, bonjour les dégats : éviter les personnes qui font des zigzags, éviter les débutants qui n’ont pas pris assez de vitesse, éviter le fou furieux qui fonce sans regarder, … C’est d’ailleurs la seule station où j’ai réussi à me faire percuter par un skieur, en 6ans de snowboard, alors que je suis très prudent !

Le retour à la station est très pénible par contre. En effet, seules deux pistes noires (bien verglacées ceci dit) et une longue piste verte étroite (un chemin quoi) permettent de retourner à la station… et là aussi, imaginez les milliers de personnes qui rentrent le soir par ces trois pistes : des dizaines de personnes qui glissent du haut de la piste noire jusqu’en bas, sans pouvoir s’arrêter, sans pouvoir éviter une collision … des dizaines de personnes à la queue-leu-leu sur la piste verte, avec la montage d’un coté et le ravin de l’autre, sans pouvoir dépasser, … Et évidement, après, il faut aussi se taper les 10minutes de marche vers le magasin de location de ski pour les déposer (non, je n’ai même pas penser faire le chemin en trimballant mon snowboard !), marcher jusqu’à la télécabine de venosc, faire l’interminable descente (un bon quart d’heure), puis la superbe montée jusqu’au village avec ses 200m de dénivelé !

Bref, si vous avez le choix entre plusieurs stations, évitez les 2 Alpes, et préférez une station plus familiale style La Foux D’Allos, Disentis, La Plagne, … qui n’ont rien à envier aux grandes stations !

Première course avec Forerunner 405

Après avoir chargé la montre Garmin Forerunner 405 pendant un bon 24h, il était temps de la tester… J’enfile le cardio-fréquencemètre sur mon torse et la montre sur mon poignet. Je lirai le mode d’emploi plus tard, histoire de voir la simplicité d’utilisation de l’engin (ou non).

Le temps d’arriver à ma zone de course, je lance le mode « training » en laissant mon doigt appuyé quelques secondes sur la « bague tactile » de la montre. Elle lance la recherche de satellites et trouve ma position très rapidement, en moins de 10secondes pour la première utilisation, une assez bonne performance en ville. Le chrono s’affiche, il ne reste plus qu’à appuyer sur « start » et courir !

Lors de ma course, j’ai ajusté les zones à afficher sur l’écran principal du mode « training » – Les informations qui m’interressent lors de ma course sont : temps, distance, vitesse, FC, %FC max, … Tout est possible d’afficher, sur plusieurs écrans, avec un passage d’écran automatique toutes les 5secondes (ou manuel, en appuyant sur la bague tactile).

Une fois la course terminée, il est temps de tester le mode de transfert vers le PC avec la clé ANT+ et la puissance du « post-traitement » des résultat.

Installation des drivers : sans problèmes, la clé USB est reconnue facilement. Le logiciel de transfert détecte ma montre directement, mais les premiers transferts ne passent pas bien. Il faut en effet lui dire de ne pas transférer directement à Garmin Connect ni au Garmin Training Center. Une fois les quelques options décochées, tout roule comme sur des roulettes !

J’ai utilisé le logiciel Garmin Training Center pour mon premier post-traitement de résultat.

Le premier constat est un peu décevant : la carte n’est pas assez détaillée, on ne peut y voir que les routes principales (en Belgique en tout cas). A moins de courir sur de grands boulevard, la carte est inutile. Par contre, il est possible d’exporter le trajet en 1clic vers Google Earth ! Et là, cela devient vraiment beaucoup plus intéressant !

Dans le logiciel Garming Training Center, il est possible d’afficher toutes les courbes enregistrée lors de la course : fréquence cardiaque, altitude, vitesse, distance, pente, allure, … en fonction du temps ou en fonction de la distance parcourue. C’est très interessant pour un entrainement ayant pour but d’augmenter ses performances et se fixer de nouveaux objectifs !

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