Panasonic Lumix FZ18

Mon ancien appareil photo Canon Powershot S1 IS ayant rendu l’âme (capteur CCD mort), j’ai décidé d’aller m’acheter un nouvel appareil photo, même si la réparation de mon ancien Canon est pris en charge entièrement (merci Canon !)
Je me suis laisser tenter par le Panasonic Lumix FZ18 qui propose un excellent zoom optique pour un petit boitier (18x, soit 28-504 mm en équivalent 35 mm), un zoom numérique 4x, un capteur de 8 millions de pixels, un mode macro, détection de visage, mode automatique intelligent, stabilisateur d’image, … la liste est longue.

Pour ceux qui veulent lire un test complet, je vous conseille l’excellent article consacré au Panasonic Lumix FZ18 sur DPreview (en anglais).

Pour le moment, les quelques fonctionnalités que j’ai pu tester m’ont donner d’agréables surprises. Le seul problème que j’ai pu rencontré est avec windows XP, au niveau du transfert de la carte mémoire SD HC (4go). Windows XP ne gère pas nativement les fichiers de plus de 4Go et les cartes SDHC non plus ! Obligé de faire une mise à jour et d’acheter un nouveau lecteur de carte mémoire (pas compatible avec les SDHC non plus)… enfin soit, ce n’est pas un problème au niveau de l’appareil, juste des accéssoires.

J’ai vite effectué quelques photos, pour tester le grand angle, le zoom optique, et la combinaison optique / numérique (beaucoup de bruit rajouté). Le zoom optique est limité à 10x en mode 8MPixels. Par contre, si on se limite à 5Mpixels, l’appareil offre un « pseudo » zoom optique jusqu’à 28,7x (il faudrait que je me renseigne sur comment fonctionne ce procésus).

En attendant que je fasse un peu plus joujou avec l’appareil, voici quelques photos prises rapidement.

Réaliser un Média-Center dans son salon

J’ai passé pas mal de temps à chercher une solution simple, bon marché, évolutive, … pour réaliser un média-center dans mon salon.

Mon cahier des charges était le suivant :

  • Le système doit être simple à mettre en route pour tout le monde. L’idéal serait de démarrer tout le système avec un seul « clic ».
  • doit pouvoir lire des fichiers audio (MP3, OGG, WAV, …), vidéo (DIVX, MOV, …), DVD et à l’avenir, supporter la haute définition (avec lecteur BluRay).
  • doit être stable et facilement mis à jour.
  • Ajouter de nouveaux fichiers vidéo/audio doit être facile et rapide
  • Gestion d’une librairie avancée de toutes les vidéos, toutes les chansons stockées dans le système, avec possibilité de filtrage en fonction du titre, genre, …
  • Gestion des soustitres

En gros, je voulais quelque chose de très complet !

Après quelques jours de recherche sur Internet et comparaison de plusieurs système, je me suis rabattu sur l’excellent XBMC. XBMC est à la base un Media Center conçu pour X-Box mais, depuis plusieurs mois, un portage vers Linux, Windows et Mac est en cours de réalisation.

Voulant un système stable, rapide et évolutif, j’ai préférer opter pour l’installation de XBMC sur Ubuntu. Lors de mon installation, la version 7.10 était la plus stable (8.04 était sortie mais pas encore supportée officiellement par XBMC).

Dans un prochain billet, je détaillerai l’installation de XBMC sur Ubuntu, comment rajouter ses fichiers, et d’autres trucs et astuces. Stay tuned !

Astuce contre les pucerons

J’ai découvert, à mon retour de vacances, que mon rosier s’était fait complètement ravager par des pucerons. Il avait perdu quasiment toutes ses feuilles et était bourré de pleins de petites bestioles vertes pas jolies à regarder.

Quelques connaissances m’ont informé qu’il suffisait d’asperger de l’eau avec du savon noir dilué dedans pour les exterminer.

Septique sur le résultat, je me suis décidé à dissoudre une cuillère à soupe de savon noir dans un litre d’eau chaude et d’attendre que la « potion » refroidisse.

Une fois refroidie, j’ai aspergé (très lourdement, sans hésiter) ce qui restait de mon rosier. J’ai renouvellé l’opération toutes les heures environs, 4x au total. Le lendemain, PLUS RIEN ! Quelques jours plus tard, toujours plus de pucerons, et quelques nouvelles pousses de feuilles sont apparues. Les feuilles existantes n’ont par contre pas vraiment apprécier l’eau savonnée puisqu’elles sont devenues toutes jaunes et vont, à priori, tomber bientôt. De toutes facon, si votre arbuste est envahi de pucerons, autant le pulvériser d’eau savonneuse et abimer un peu les feuilles saines plutôt que de tout laisser crever !

Première course avec Forerunner 405

Après avoir chargé la montre Garmin Forerunner 405 pendant un bon 24h, il était temps de la tester… J’enfile le cardio-fréquencemètre sur mon torse et la montre sur mon poignet. Je lirai le mode d’emploi plus tard, histoire de voir la simplicité d’utilisation de l’engin (ou non).

Le temps d’arriver à ma zone de course, je lance le mode « training » en laissant mon doigt appuyé quelques secondes sur la « bague tactile » de la montre. Elle lance la recherche de satellites et trouve ma position très rapidement, en moins de 10secondes pour la première utilisation, une assez bonne performance en ville. Le chrono s’affiche, il ne reste plus qu’à appuyer sur « start » et courir !

Lors de ma course, j’ai ajusté les zones à afficher sur l’écran principal du mode « training » – Les informations qui m’interressent lors de ma course sont : temps, distance, vitesse, FC, %FC max, … Tout est possible d’afficher, sur plusieurs écrans, avec un passage d’écran automatique toutes les 5secondes (ou manuel, en appuyant sur la bague tactile).

Une fois la course terminée, il est temps de tester le mode de transfert vers le PC avec la clé ANT+ et la puissance du « post-traitement » des résultat.

Installation des drivers : sans problèmes, la clé USB est reconnue facilement. Le logiciel de transfert détecte ma montre directement, mais les premiers transferts ne passent pas bien. Il faut en effet lui dire de ne pas transférer directement à Garmin Connect ni au Garmin Training Center. Une fois les quelques options décochées, tout roule comme sur des roulettes !

J’ai utilisé le logiciel Garmin Training Center pour mon premier post-traitement de résultat.

Le premier constat est un peu décevant : la carte n’est pas assez détaillée, on ne peut y voir que les routes principales (en Belgique en tout cas). A moins de courir sur de grands boulevard, la carte est inutile. Par contre, il est possible d’exporter le trajet en 1clic vers Google Earth ! Et là, cela devient vraiment beaucoup plus intéressant !

Dans le logiciel Garming Training Center, il est possible d’afficher toutes les courbes enregistrée lors de la course : fréquence cardiaque, altitude, vitesse, distance, pente, allure, … en fonction du temps ou en fonction de la distance parcourue. C’est très interessant pour un entrainement ayant pour but d’augmenter ses performances et se fixer de nouveaux objectifs !

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Garmin Forerunner 405

 Après qu’un collègue m’a prêté sa montre GPS (Garmin Forerunner 305) lors d’un jogging avant les 20 kilomètres de Bruxelles, j’ai été très surpris et intéressé par les fonctionnalités d’un tel appareil. Le fait d’être « tracé » précisément lors de ses courses à pied et ensuite de pouvoir analyser ses performances à l’aide de logiciels puissants me motivait déjà à courir plus vite !

Après quelques recherches sur Internet, j’ai découvert qu’une nouvelle version de la forerunner 305 venait tout juste de sortir : la Forerunner 405. Toutes les fonctionnalités sont quasiment identiques, seul le design extérieur change … et quel design ! Maintenant, il n’est plus question d’avoir une énorme montre affreuse à porter au poignet seulement lors de ses courses et à cacher dans un tiroir en temps normal ! Le nouveau design de la Forerunner 405 est digne d’une belle montre sportive, aux courbes épurées, qui peut aussi bien être portée lorsque l’on fait du sport ou lorsque l’on travaille au bureau… un sacré avantage !

Avec un tel design et de telles fonctionnalités, je n’ai plus hésité une seule seconde et j’ai acheté ce petit bijou. Il est livré avec un cardio-fréquencemètre, une « pince » pour recharger sa montre, un recepteur USB pour les transferts de données sans fil, un CD d’installation et quelques livrets.

A peine reçu, je me suis empressé de la chargeur 24h (la durée recommandée pour une première charge) afin de pouvoir la tester le plus rapidement possible ! Et déjà quelques idées d’endroits où je pourrai l’emmener m’envahissent la tête (randonnée dans la montagne, en voiture, en avion, en bateau … car finalement, elle ne se limite pas à une utilisation « course à pied »). Quelques tests dans les prochains billets !
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